Living In-Between: An Autoethnographic Narrative of Eritrians in Hannah Pool’s My Fathers’ Daughter

Résumé : Cet article vise à examiner à travers le roman autobiographique d‟Hannah Pool, My Fathers’ Daughter, l‟expérience de première main de son retour à la maison à la recherche de la construction de son identité perdue dans la famille biologique de son Érythréen. La position d‟initié de Pool en tant qu‟identité intermédiaire (érythréenne et britannique) permet aux lecteurs de plonger dans son véritable sentiment d‟appartenance et de bouleversement émotionnel pour se retirer dans le milieu de sa famille. En fait, l‟hybridité et la crise identitaire de Pool sont conditionnées par l‟accumulation de l‟éducation multiculturelle qu‟elle a reçue de son adoption, favorisée par les conséquences de la lutte de l‟Érythrée avant / après l‟indépendance contre l‟Éthiopie. Cette étude met également en lumière les différents défis de sa métamorphose interculturelle dans le processus d‟intégration et de réappropriation de sa culture et de ses identités après son retour dans sa patrie traditionnelle.